Qu’une femme soit biologiquement un homme ou pas, qu’elle sorte de son silence et parle à partir de ce qu’elle éprouve comme jouissance supplémentaire si ça lui arrive, qu’elle parle à partir de cet impossible à dire, et voilà qu’elle écrit quelque chose du souffle, dans son souffle même. Et « le souffle devient signe », pourrait-on dire avec François Cheng. Une chance pour elle qui se découvre étrangère. Une occasion pour qui s’ouvre avec elle de rejouer sa partie avec le signifiant…