Le pervers envisage l’image comme un véritable instrument, une machine de guerre efficace pour faire surgir l’objet abject, voilà la thèse.
Dans notre monde contemporain voué au spectaculaire, la structure perverse enseigne la manière dont ressurgit une véritable querelle des images : « Nous avons à faire notre profit de ce rapprochement exemplaire entre un trait, un seul, de la structure perverse, et je ne sais quelle capture, qu’il faut bien appeler idolâtre, de la foi, pour autant qu’elle nous met au coeur de ce qui s’est présentifié en notre Occident d’une querelle des images. »
- 19 janvier 2011
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