Francis Bacon, Autoportrait n°2, 1976.
« La langue vivante, Fabrice Luchini dit ne pas l’avoir apprise à l’école. Elle courait, quand il était enfant dans le quartier des Abbesses. C’est avec « la bande », et par eux, que la puissance de l’oralité lui a été révélée. « Je ratais tout dans la langue officielle, je réussissais tout dans la langue parallèle. ». L’agencement des mots et des sons formait sa première partition sonore car musicale… »