Qu’y a-t-il de plus vivant dans une cure analytique ? Cette question vaut pour toute personne confrontée au discours analytique. Tout analysant est concerné par le vivant. C’est donc une question qui nous mène au-delà des distinctions cliniques. Mon axiome est le suivant : il n’y a pas de psychanalyse vivante sans la mise en jeu des corps en présence réelle, celui de l’analysant comme celui de l’analyste…
Illustration : Simon Hantaï, Meun, 1967.