On dit de certains sujets qu’ils sont durs au mal, qu’ils n’ont jamais froid, qu’ils ne sentent pas la douleur et s’offrent parfois comme objets de maltraitance à leurs camarades. C’est un « pas assez de corps », c’est une façon, parfois extrême, de se faire un corps. Pour d’autres sujets, cela peut être au contraire un trop de corps, c’est-à-dire un envahissement du « mental » par le vivant.