Je poserai en effet que l’interprétation en psychanalyse n’est possible, recevable, que s’il y a un consentement du sujet à l’interprétation. Ce consentement suppose une forme de dessaisissement de soi, sous l’effet du transfert. Le consentement à l’interprétation, c’est au fond le consentement à lâcher les amarres de la parole et à être entendu au-delà de ce que je dis.