S’appuyant sur la préface qu’en fit Jacques Lacan, Noëmie Jam nous introduit à la dimension tragique de L’éveil du printemps. Le scandale de » tragédie enfantine » tient de la monstration du ratage du rapport entre les sexes. » Comment rencontrer l’altérité que représente le partenaire sexuel ? » Par l’exil du discours parental, mais pas sans » l’éveil des rêves « . S’appuyant sur le parcours amoureux des personnages, l’auteure dessine un trajet » de la tragédie enfantine à la comédie des sexes « .