Les lacaniens (ou lacanoïdes quand leurs progrès en Écrits sont trop lents) d’Istamboul (le nom de notre belle ville a changé depuis son passage) l’aiment d’autant plus que leur maître très lointain, dont ils célèbrent eux-aussi les trente ans de disparition, lui a consacré un texte célèbre Jeunesse de Gideauquel ils n’ont rien compris pendant longtemps….