Lacan soutient que le tableau a une fonction apaisante : il permet au spectateur de déposer son regard. Le peintre, dit-il « invite celui auquel le tableau est présenté à déposer là son regard […] c’est là l’effet pacifiant, apollinien, de la peinture ». Le sublime satisfait la pulsion, dans ce cas la pulsion scopique, dans les bornes du principe de plaisir. Mais l’art a toujours su aussi représenter l’horreur…
Frida Kahlo, Niña con mascara de muerte, 1938, courtesy of www.fridakahlo.org