Comment une femme se défend-elle de la jouissance féminine ? Pourquoi choisit-elle de jouir de la privation ? Cette assomption de la privation peut prendre différentes formes comme l’attente infinie de l’absent, la jouissance de l’objet rien ou l’adoration d’un incube idéal. M. Laurent nous l’illustre et nous éclaire sur le rapport privilégié entre la féminité et la pulsion de mort.