« La clinique psychanalytique est celle du parlêtre, de l’humain qui tient son être de la parole et qui a un corps. Elle est ironique : comme le « dit-schizophrène », le psychanalyste sait que tout discours n’est que défense contre le réel, contre le trouma de la rencontre d’un corps avec la langue et ses effets de jouissance. Dès lors, « tout le monde est fou, c’est-à-dire délirant ».