Quand le récit qu’un être humain se fait de lui-même, quand ce récit, qui a été aussi porté par l’Autre, et qui se déploie dans une parole, ne peut pas être adressé et ne peut pas être entendu, alors que se passe-t-il ? Quand n’advient pas ce nouveau jour créé par cette parole adressée, cette parole qui porte au dire, que reste-t-il ?